lundi 17 mars 2014

The Grand Budapest Hotel


Wes Anderson : délicieux, léger, bondissant, sur fond de palace et de sombres machinations autour d'un héritage et d'un tableau volé. Wes Anderson joue à fond et avec humour sur l'imaginaire des palaces de l'entre-deux-guerres, imaginaire revu et corrigé en version décatie et désenchantée à l'ère du réalisme socialiste. Nostalgie d'un monde disparu, personnages de bande dessinée, péripéties, rebondissements... c'est parfait. 

Un été à Osage County, John Wells : réunion familiale à l'occasion des funérailles du grand-père dans un trou de l'Amérique profonde. Un concentré d'horreur familiale, avec Meryl Streep en grande prêtresse de la dévastation. Parfaite comme d'habitude. Presque comique tellement l'auteur a mis le paquet.

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