mardi 24 mars 2015

Mon Fils

Eran Riklis
Question d'identité : jusqu'où un Arabe d'Israël peut-il rester arabe s'il veut avoir accès au bon côté du monde (bon lycée, bonne fac, bon boulot) et si en plus il tombe amoureux d'une juive ? C'est une histoire de porosité entre deux cultures qui partagent le même sol et dont l'une domine l'autre. Tant qu'il est enfant, Ilyad appartient à sa famille arabe, quand il grandit, et parce qu'il est brillant, il a accès à l'autre monde, où il fait figure d'intrus. Sauf s'il s'adapte. Troublant.

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