Je ne sais pas trop pourquoi je les ai choisis ni comment ils sont arrivés dans ma sphère. Sans doute parce qu'ils sont dans l'air du temps : Au fond de l'eau parce que c'était le second roman de Paula Hawkins après La Fille du train. Bofbofbof. Bien constuit, bien mené, mais lecture convenue, sans surprise, et un mois après il ne me reste rien de cette histoire de femmes qui vont se noyer dans la rivière du coin.
Après, j'ai lu La Recluse, encore une fois "le dernier de"... Fred Vargas en l'occurrence. Pas mal, intelligent etc mais là encore, un peu fastidieux de la voir tricoter les fils de son intrigue super bien fichue, rhohhlala, quelle surprise.
Après il y a eu L'homme qui s'envola, d'Antoine Bello. L'histoire d'un homme à qui tout a réussi mais qui organise sa disparition parce qu'il se sent prisonnier de son univers. Avec un enquêteur super futé missionné par les assurances pour vérifier s'il a vraiment disparu. Jai déjà oublié le pourquoi du comment. Ça ne devait pas être si important. Même quand je le lisais, je n'étais pas convaincue. Tout m'avait l'air un peu trop parfait. Mais les lecteurs de Babelio ont l'air enchanté.
Puis la bonne surprise : Le dimanche des mères, de Graham Swift : subtile histoire des relations entre une bonne et un fils de famille dans la campagne anglaise vers 1920. Intelligent, avec narration au scalpel de ce qui se dit ou pas entre deux personnes de classes sociales aussi incompatibles. Excellente lecture.
Puis viennent Les Mémoires d'un chat, du japonais Hiro Arikawa. Un chat de gouttière adopté, mais dont le maître doit se séparer. La quête du repreneur potentiel permet de passer en revue divers "types" et manières d'être, avec une vision assez optimiste et morale de la vie. Pas mal. Assez charmant.
vendredi 18 août 2017
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