Le vrai grand morceau, c'est Règne animal, de Jean-Baptiste del Amo. Puissant dès les premières lignes. Mérite mieux que 3 lignes.
Sinon, Agatha, de Frédérique Deghelt, cherche à percer le mystère de la disparition d'Agatha Christie pendant 3 semaines. Bavard et un peu gnagnan.
Les Mandible de Lionel Shriver (auteure d'Il faut qu'on parle de Kevin). C'est la saga à l'envers de la réussite d'une dynastie américaine. Quand l'économie s'emballe et se déglingue, quand les E.U sont gouvernés par un président latino, quand la suprématie mondiale déserte l'Amérique du Nord, quand le travailleurs sociaux s'en tirent mieux que les cadres sup... c'est plutôt bien vu, malin et rigolo. Même si les analyses économiques sont trop fouillées et indigestes.
Chaleur (Joseph Incardona) et Avant que les ombres s'effacent (Louis-Philippe Dalembert) : cf post dédiés.
vendredi 18 août 2017
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