dimanche 26 juin 2016

Michel Houellebecq, Rester vivant


Les associations improbables, les étrangetés, un humour certain, les végétaux, les cellules du vivant vu de tout près, des dispositifs scientifiques improbables et énigmatiques, les strates géologiques, le goût des lieux communs.


Les univers dévastés, les vues incongrues.
Les paysages industriels, les panoramas insolites, la solitude, les sonorités de supermarché, le kitsch post qqchose.

La poésie, Combas,

la dévastation dans la salle des vinyles, l'inflation des objets devenus obsolètes, la série des filles à consommer dans un décor de boîte seventies (Renoma). 
Et l'ode au chien, le bon Clément, le brave toutou à son pépère, la machine à aimer.


Je suis allée voir l'exposition de Michel Houellebecq vaguement réticente, en fait, c'est très bien, c'est bien lui et c'est bien vu.

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