mardi 16 mars 2010

Cherry blossoms, et +


Cherry Blossoms,
Doris Dörrie (à la télé sur Arte) : un couple proche de la retraite, leurs enfants (grands), des vies ordinaires, l'amour conjugal et familial, la banale complexité des rapports avec les enfants, la solitude, le mystère de l'autre, de la perte, de l'absence, la quête de l'autre jusqu'au Japon, la danse de Buto, la jeune fille japonaise. Ça n'a l'air de rien, mais c'est subtil, profond, ça vous prend en douceur et ça ne vous lâche plus.


Anvil : Ces "bad boys" qui secouent furieusement la tête et leurs crinières en faisant le signe de Satan sur des rythmes assourdissants et frénétiques sont donc de bien braves gars. Je n'ai jamais aimé le Metal, mais me voilà charmée par cette très humaine histoire d'amour de la musique et d'amitié, et cette déroutante faculté qu'ils ont de continuer à rêver plus de 20 ans après.

Invictus, Clint Eastwood : sympathique

Nord (norvégien) improbable dérive en scooter des neiges d'un ex-skieur dépressif, des rencontres improbables (d'autres solitudes, d'autres mal-être). Une certaine dérision. On se laisse prendre

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