vendredi 18 mai 2018
Everybody knows
Asghar Farhadi. Ça commence bien, comme un film publicitaire sur l'art de vivre espagnol : beautés méditerranéennes, joie des retrouvailles, préparatifs de mariage, mariage, fête de mariage. Ouf. Tout ça est un peu long, un peu appuyé, mais bon. On attend poliment que ça commence. Mais ça commence à peine, avec l'enlèvement de la jeune fille, de poussifs retours sur les amours de jeunesse de Pénélope et Javier, les conditions dans lesquelles le patriarche à vendu son domaine... bref, on s'ennuie poliment en attendant que ça s'arrête. Mais les critiques y vont allègrement de leur 4* voire 5 *. Allez comprendre. Ça doit être l'effet Pénélope +Javier.
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