Clint Eastwood.
Tout est dans le titre. Il est américain et il défend les valeurs dans lesquelles son père l'a élevé. Un monde partagé entre les moutons, les prédateurs, et ceux qui défendent les moutons, ou plutôt se battent contre les prédateurs. Le paternel, cela va de soi, l'initie à la chasse, et à tirer le chevreuil. A 10 ans, il est armé et en plus, il tire bien. C'est un garçon prometteur.
Le fiston obéit sans faille à l'éducation paternelle, et après le 11 septembre rejoint ceux qui luttent contre les forces du mal. Le tout entrecoupé de séquences familiales avec sa tendre, qu'il engrosse sans faille et qui l'attend au pays pendant que son héros défend le monde libre (tension, moments de doute...) Le héros est de plus en plus happé par son obsession, en l'occurrence le sniper d'en face, qui défend avec autant de passion et de talent que lui les valeurs de son camp et fait des ravages chez les Américains.
C'est carré, sans faille et bien administré. (mais il y a trop de scènes de guerre avec les braves américains go! go! go! aux prises avec un terrain qu'ils ne maîtrisent pas du tout.)
samedi 28 février 2015
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