Claude Duparfait, qui a créé le spectacle et joue une des figures, s'est principalement inspiré de romans autobiographiques de Bernhard : L'Origine et La Cave, et a créé le personnage du grand-père (Thierry Bosc = figure initiatrice à l'intelligence du monde) d'après un autre de ses romans
samedi 3 juin 2017
Le froid augmente avec la clarté, théâtre de la Colline
Certes, il y a quelques redondances, mais la "musique" circule bien entre les personnages qui incarnent 4 figures en miroir de T.Bernhard à différentes étapes de sa vie et évoquent les tourments qui l'habitent. Cette valse à 4 temps (un peu sinistre - c'est Thomas Bernhard !) nous balade aux confins de son écriture fouisseuse, implacable. J'y suis allée avec une certaine méfiance, et j'ai trouvé un spectacle plutôt séduisant dans le genre noir total.
Claude Duparfait, qui a créé le spectacle et joue une des figures, s'est principalement inspiré de romans autobiographiques de Bernhard : L'Origine et La Cave, et a créé le personnage du grand-père (Thierry Bosc = figure initiatrice à l'intelligence du monde) d'après un autre de ses romans
Claude Duparfait, qui a créé le spectacle et joue une des figures, s'est principalement inspiré de romans autobiographiques de Bernhard : L'Origine et La Cave, et a créé le personnage du grand-père (Thierry Bosc = figure initiatrice à l'intelligence du monde) d'après un autre de ses romans
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire