
Le prologue est magnifique, où la Nuit annonce qu'elle va allonger son règne pour que Jupiter ait plus de temps à passer auprès d'Alcmène. Jupiter, le traître, prend les traits de son mari Amphitryon et trame son complot, secondé par Mercure. A priori, rien de très passionnant, ni actuel. Et pourtant, ça marche : le spectacle de la rouerie, de la perfidie des dieux, les mortels abusés, et l'épatant Sosie (Christian Hecq).
Mise en scène Jacques Vincey, Comédie française, théâtre du Vieux-Colombier.
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