dimanche 23 octobre 2011

Habemus papam



Nanni Moretti. 
J'aime ce film grave et léger à la fois, sa manière de montrer la détresse propre à chaque protagoniste, cette balade improbable dans Rome et les espaces du Vatican, les références au monde de l'acteur et du théâtre, la poésie du film, les questions qu'il pose sur la responsabilité, la hiérarchie, la loi et l'ordre des choses, l'inconscient, l'âme, la foi. Tout en n'étant ni didactique, ni démonstratif.


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